AgroParisTech est l’institut national des sciences et industries du vivant et de l’environnement, sous tutelle des ministères en charge de l’agriculture et de l’enseignement supérieur. Acteur de l’enseignement supérieur et de la recherche, ce grand établissement de référence au plan international s’adresse aux grands enjeux du 21e siècle : nourrir les hommes en gérant durablement les territoires, préserver les ressources naturelles, favoriser les innovations et intégrer la bioéconomie.
L’établissement forme en s’appuyant sur la recherche et sur ses liens aux milieux professionnels des cadres, ingénieurs, docteurs et managers, dans le domaine du vivant et de l’environnement, en déployant un cursus ingénieur, une offre de master et une formation doctorale en partenariat avec de grandes universités françaises et étrangères, ainsi qu’une gamme de formation professionnelle continue sous la marque « AgroParisTech Executive ».
AgroParisTech se structure en 10 centres en France métropolitaine et outre-mer dont 5 en Île-de-France, 5 départements de formation et de recherche, 22 unités mixtes de recherche, 1 unité de recherche et développement, 1 ferme expérimentale, 1 halle technologique, 5 tiers-lieux ouverts dits « InnLab » et compte 2 257 étudiants dont 275 doctorants et 283 enseignants, chercheurs et enseignants-chercheurs.
AgroParisTech est membre fondateur de l’Université Paris-Saclay, membre du réseau ParisTech et membre d’Agreenium.
David Porchon, AgroParisTech – Université Paris-Saclay
Alors que les mobilisations contre l’A69 se poursuivent dans les arbres et au sol, il existe un risque significatif d’emballement de la violence. Un phénomène qui n’est pas sans précédent historique.
Harold Levrel, AgroParisTech – Université Paris-Saclay
La souveraineté alimentaire est régulièrement invoquée pour justifier le productivisme agro-alimentaire. Une vision restrictive qui ignore bon nombre des services écosystémiques rendus par la nature.
La politisation de la sensibilité est une des contre-propositions les plus vieilles et intéressantes de l’écologie politique. Mais comment la mettre en pratique lors d’un meeting ?
Le prix des terres agricoles comme les loyers fixés par l’État diminuent quand les taxes augmentent. Leurs propriétaires sont ainsi incités à artificialiser.
La directive CSRD promulguée par l’UE propose un cadre qui sort du paradigme néoclassique : il ne s’agit plus uniquement de se contenter de mesurer une productivité ou une externalité.
David Porchon, AgroParisTech – Université Paris-Saclay
Les vicissitudes des Soulèvements de la Terre interrogent sur la violence des mouvements écologistes. Violence qui a une fonction clé : celle d'un grand spectacle qui entend imaginer un nouveau monde.
David Porchon, AgroParisTech – Université Paris-Saclay
La décision de dissoudre les Soulèvements de la Terre, même annulée par le Conseil d’État, interroge la définition de l’incitation à la violence. Et rappelle pourquoi l’atteinte aux biens provoque des réactions épidermiques.
Derrière le terme « aquaponie », entré au dictionnaire en 2023, se cache un système de production agricole permettant des économies d’eau. Explications.
En France, la loi de relance de l’énergie atomique n’a généré aucun débat tandis que l’investissement privé porte l’innovation dans le secteur aux États-Unis ou en Allemagne.
Le recours de plus en plus important à la sous-traitance, l’automatisation, les coupes budgétaires ou encore le vieillissement du matériel multiplie aujourd’hui le risque d’accident ferroviaire.
Leur itinérance, leur ingéniosité, leurs connaissances et leur infatigable labeur auront permis aux maraîchers de s’adapter des siècles durant aux mutations de la ville et des consommations.
Logement, mobilité, nourriture, énergie… Pour satisfaire la demande, 180 milliards de tonnes de matières premières, soit 3 fois la quantité de ressources actuelles, seront nécessaires à l’horizon 2050.
Face à la mobilisation, le président de la République Emmanuel Macron adopte une posture de « patron d’entreprise » qui ne correspond pas aux attentes des Français.
Si la Convention citoyenne pour le climat a proposé la création d’un crime d’écocide, la loi climat-résilience du 22 août 2021 en a retenu une définition beaucoup plus restrictive et technique.
Harold Levrel, AgroParisTech – Université Paris-Saclay
Remettre en cause l’idée que toute nature devrait être travaillée, c’est revenir sur un principe qui a guidé les activités humaines de très longue date.
Les nombreux bénéfices associés aux cultures de légumineuses invitent à penser leur déploiement à l’échelle du continent européen et à l’échelle locale.
Face au recul alarmant de la biodiversité, les propositions de faire de la nature, et de certains éléments naturels, des « personnes juridiques » se multiplient. À raison ?
Les manières dont l’entreprise doit contribuer au bien public opposent deux courants de pensée. Cependant, la mise en œuvre de leurs principes peut aboutir à des résultats très proches.
L’éclairage public connaît des mesures de restriction pour réduire la facture énergétique et la pollution lumineuse. Derrière cette dynamique, se trouvent de nombreux enjeux d’acceptabilité.
Maître de conférences en comptabilité - Co-directeur des chaires "Comptabilité Ecologique" et "Double Matérialité", AgroParisTech – Université Paris-Saclay