Nita Dyola, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) and Sergio Rossi, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
L’Himalaya est un écosystème magnifique et fragile dont les humains et les non-humains dépendent depuis des millénaires. Pour le protéger, il faudra déployer d'importants efforts de conservation.
Les derniers JO, à Tokyo en 2021, ont été considérés comme les plus chauds de l’histoire. L’effet combiné de la chaleur et de l’humidité a infligé à certains athlètes des conditions proches de la torture.
Davide Faranda, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Il est désormais possible de relier les événements météorologiques extrêmes au changement climatique : on parle d’attribution climatique. Explications.
Pour la première fois, les zones de France continentale où les populations sont les plus exposées à la chaleur, la pollution de l'air et au manque de végétation ont été cartographiées finement.
La rareté des fossiles de chauve-souris est bien plus qu'un simple casse-tête paléontologique, elle a aussi des répercussions pour les stratégies de conservation des chauve-souris aujourd'hui.
Les nids-de-poule semblent une fatalité. Il existe pourtant des solutions pour construire des routes plus résistantes aux conditions météorologiques, notamment quant aux cycles de gel et de dégel.
Laura Bullon-Cassis, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
Depuis les grandes manifestations organisées à Madrid (COP25) et de Glasgow (COP26), les jeunes semblent de moins en moins audibles à l’occasion des grandes messes onusiennes sur le climat. Pourquoi ?
Partez en voyage en ballon autour de la Terre pour aller étudier le changement climatique ou tester de nouvelles technologies qui iront un jour dans l’espace.
Bernard Deschamps, Université du Québec à Montréal (UQAM) and Michel Leclerc, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Québec se prépare à publier une nouvelle cartographie des zones inondables. Ses conséquences seront majeures pour les résidents et les municipalités visés. Des solutions permettraient de les atténuer.
Pour répondre aux défis des forêts, la science ne doit plus seulement les considérer comme des objets technico-administratifs, mais comme des pourvoyeurs de services économiques et écosystémiques.
Les réactions du vivant à l’apparition du printemps ont coévolué pour converger vers les mêmes dates. La floraison précoce à cause du changement climatique vient changer la donne.
Jugées par certains incontournables dans la lutte climatique, ces technologies doivent cependant lever des obstacles économiques, technologiques et politiques pour se déployer.
D’après le programme Copernicus, un réchauffement de 1,5 °C a été observé entre février 2022 et janvier 2023. Cela ne signifie pas que le 1,5 °C visé à l’accord de Paris a été dépassé.
Les digues, brise-lames et autres ouvrages en dur n’ont rien d’une panacée. Les solutions fondées sur la nature aussi ont de sérieux atouts pour l’adaptation du littoral français au climat.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)