Cette étude montre qu’au moins deux mécanismes différents conduisent au déclin cognitif, tant chez les personnes en bonne santé que chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
En favorisant la naissance de neurones, la connexion entre cellules nerveuses ou l’irrigation du cerveau, l’activité physique participe à améliorer nos capacités cognitives. Mais quelle routine adopter au quotidien ?
Après 60 ans, l'activité physique classique mais aussi via des jeux vidéo interactifs qui font bouger le corps aide à stimuler les fonctions cérébrales. On fait le point sur les pratiques à privilégier.
Dans le cerveau, où est rangée notre mémoire ? En réalité, il n’existe pas de zone dédiée au stockage de nos souvenirs, mais des réseaux de neurones distribués dans tout le cerveau.
Une nouvelle étude montre qu’il est possible de réduire les symptômes de la sclérose latérale amyotrophique en diminuant l’inflammation engendrée par les cellules immunitaires dans le cerveau.
Les bourgeons gustatifs, les structures qui nous permettent de sentir le goût, ne se trouvent pas que sur la langue. Les scientifiques en ont identifié dans d’autres parties du corps.
C. elegans a beau être minuscule, c’est une star des laboratoires. En modélisant son système nerveux, les scientifiques veulent en apprendre plus sur les mécanismes qui fondent nos comportements.
Nos yeux n’ont pas besoin de mode d’emploi pour fonctionner. Mais quels processus sont à l’œuvre ? Et que pouvons-nous apprendre des yeux d’autres espèces vivantes ?
Pour les personnes paralysées, il serait très utile de pouvoir contrôler des bras ou des jambes robotisés, c’est le principe des interfaces cerveau-machine.
À Montréal se trouve l’une des plus importantes banques de cerveaux au monde, la Banque de cerveaux Douglas-Bell Canada. Elle permet des découvertes sur différentes maladies neurologiques et psychiatriques.
Vous est-il déjà arrivé de regarder un visage familier et de le trouver soudainement inhabituel ou inconnu ? Il s’agit peut-être d’un cas de « jamais vu ».
L’IA permet-elle de modéliser certaines pathologies neurologiques ? La question peut se poser pour l’épilepsie, où le cerveau a une activité excessive… Quelles sont les limites aux comparaisons ?
Malgré un siècle d’étude, la maladie d’Alzheimer reste mal comprise et sans solution thérapeutique. Une nouvelle piste, étudiant le déséquilibre cellulaire de métaux (tel le cuivre), est prometteuse.
L’altération des récepteurs de l’insuline au niveau des vaisseaux sanguins entre le sang et le cerveau, contribuerait à la résistance à l’insuline observée dans l’Alzheimer.
L’excès d’amyloïde bêta dans le cerveau a longtemps été considéré comme la cause principale de la maladie d’Alzheimer. De nouvelles recherches semblent suggérer le contraire.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur des Universités en Physiologie de l'Exercice / Neurosciences Intégratives, Directeur Unité Recherche EuroMov Digital Health in Motion, Université de Montpellier
Directeure de Recherche, Equipe ImpAct, Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon, CNRS, Université Claude Bernard Lyon 1, Université Jean Monnet, Inserm
Directeur de l'unité Neuropsychologie et imagerie de la mémoire humaine, Inserm, Ecole Pratique des Hautes Etudes, Université de Caen Normandie, Université de Caen Normandie