Alors que la guerre en Ukraine fait passer les objectifs climatiques au second plan, la géopolitique du climat devra s’intéresser davantage à l’adaptation.
L’impression de désintérêt des candidats pour les questions environnementales se justifie par des propositions trop souvent floues ou consensuelles à rebours des préconisations des scientifiques.
Pour ne pas aggraver la vulnérabilité contemporaine, il nous faut lutter contre la rupture mémorielle qui conduit à qualifier chaque nouveau drame de « jamais vu ».
Une vaste étude conduite sur les réseaux sociaux au cours du quinquennat Macron permet d’identifier quatre groupes aux approches politiques distinctes vis-à-vis du changement climatique.
Thomas Burelli, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Le récent rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), rendu public le 28 février dernier, fait état de conclusions alarmantes liées aux changements climatiques.
En cas d’enlisement du conflit, la situation pourrait devenir intenable pour les pays d’Afrique du Nord et du Proche-Orient qui dépendent des exportations russes et ukrainiennes de céréales.
Ce statut d’entreprise agricole « à mission » pourrait permettre aux agriculteurs de mieux répondre aux attentes sociétales et climatiques qui vont s’imposer à eux.
Réduire les pesticides et les gaz à effet de serre, développer l’offre bio et une alimentation saine, soutenir les revenus et carrières des agriculteurs et agricultrices, les défis sont nombreux.
La Chine souhaite apparaître comme une « puissance verte », notamment à l’occasion des JO. Seulement, la protection de l’environnement est conçue différemment en Chine et en Occident.
Les forêts de montagne doivent être préservées car elles jouent un rôle majeur dans l’atténuation du changement climatique et dans la préservation de la biodiversité.
Jusqu’au mois de mars 2022, nous vous proposons de suivre le périple des membres de la Dynamique pour une transition agroécologique au Sénégal sous la forme d’un journal de bord.
À l’occasion du One Ocean Summit, qui se tient cette semaine à Brest du 9 au 11 février 2022, tour d’horizon des pistes de recherche prometteuses pour protéger le plus grand écosystème de notre planète.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Chercheuse en sciences du climat, ancienne coprésidente du groupe de travail I du GIEC (2015-2023), directrice de recherche CEA au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement / Institut Pierre Simon Laplace, Paris-Saclay, Université Paris-Saclay
Directeur de recherche CNRS, Expert for Conservation Biology, Axa Chair for Functional Mountain Ecology at the École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)