De nombreux facteurs affectent la décision de voter ou pas à une élection. Selon le chercheur, cette décision est d’abord une question de motivation, d’intérêt pour la politique et un sens du devoir.
Une enquête inédite auprès de membres des « gilets jaunes » et d’habitants en Gironde montre une forte demande citoyenne pour plus de justice sociale et écologique exprimée à travers le pouvoir de vivre.
Charlotte Girard, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières and Vincent Sizaire, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
La constitution actuelle ne saurait être la seule explication à la crise institutionnelle que traverse la France, mais elle en est l’une des plus déterminantes.
Pour lutter contre l’abstention, il convient sans doute de redynamiser les collectifs de travail, d’encourager l’action collective en entreprise et de limiter la précarité de l’emploi.
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
En proposant la candidature à la Cour suprême de la progressiste noire Ketanji Brown Jackson, Joe Biden prend une décision dont les effets se feront encore sentir bien après la fin de son mandat.
Djamila Mones, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Articulé aux questions pétrolières, porté par des politiques comme les lobbys extractivistes, le pétropopulisme associe le pétrole canadien au « bien », voire au « bien commun ».
Vingt ans après le vote de la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, le temps est probablement venu de refonder la démocratie en santé.
Alors que les initiatives visant à consulter les citoyens se multiplient, une question se pose : faut-il muter la démocratie représentative vers une démocratie directe ?
Le « Partygate » témoigne des inégalités entre les gouvernés et les gouvernants. Il est le symbole de la rupture de confiance du peuple envers ses dirigeants et d’un contrat social à sens unique.
La Santé publique souffre ces derniers mois d’une baisse de confiance. Le manque d’autonomie et de transparence durant la pandémie et la coloration politique de l’expertise peuvent en être la source.
Ce qui est nouveau avec les coups d’État qui se succèdent depuis deux ans en Afrique de l’Ouest est la manière dont les nouveaux dirigeants camouflent leurs actions en nommant la réalité autrement.
Le renouvellement continuel de l’état d’urgence crée un climat propice à l’adoption de mesures sanitaires dont la nécessité est difficilement justifiable.