Les ordinateurs les plus puissants du monde permettent de s’attaquer à des problèmes très complexes, comme le fonctionnement du cœur… et ses dysfonctionnements.
Cette année, les supercalculateurs ont franchi un cap – réaliser un milliard de milliards d’opérations par seconde. Pourquoi et comment en sont-ils arrivés là ?
La technologie blockchain consomme trop d’énergie et est trop lente pour être viable – mais Ethereum, acteur majeur du domaine, vient de changer de fonctionnement.
La cryptographie imprègne nos vies quotidiennes et assure des échanges sûrs sur Internet… mais elle pourrait être remise en jeu par les ordinateurs quantiques.
Bart Lamiroy, Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA)
Pour concevoir un programme d’intelligence artificielle capable d’inspirer des peintres, il faut en premier lieu s’interroger sur le fonctionnement du processus créatif.
Plutôt centré sur les usages bureautiques dans les années 1990, l’enseignement de l’informatique a désormais pour objectif de transmettre les bases de la programmation aux élèves.
Des calculs théoriques suggèrent que l’ordinateur quantique pourrait être plus efficace énergétiquement qu’un équivalent classique, à temps de travail égal.
Hammou Fadili, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Pour favoriser le débat d'idées entre les deux rives de la Méditerranée, un outil collaboratif permettant de partager un même vocabulaire scientifique s'imposait.
La guerre en Ukraine rappelle l’utilité stratégique de l’OSINT – Open Source Intelligence –, qui vise à exploiter les innombrables informations disponibles et à démêler le vrai du faux.
Quels sont les arguments avancés par la littérature scientifique pour motiver l’intégration de la programmation informatique au cursus scolaire des élèves du primaire et du secondaire ?
Les blockchains peuvent aussi être utiles au secteur public, par exemple pour donner une identité numérique aux enfants qui n’ont pas d’existence juridique dans leurs pays. Comment ça marche ?
Professeur à l'université Clermont-Auvergne, enseignant à l'institut d'informatique ISIMA et chercheur au laboratoire LIMOS, Université Clermont Auvergne (UCA)