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Articles on clivage gauche-droite

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Les candidats français têtes de liste aux prochaines élections européennes (de gauche à droite, de haut en bas) : Jordan Bardella (Rassemblement National), Léon Deffontaines (Parti communiste français), Marion Maréchal («Reconquete ! »), Valérie Hayer (Renaissance, Modem et Horizons), François-Xavier Bellamy («Les Républicains»), Manon Aubry («La France Insoumise»), Marie Toussaint, («Europe Ecologie - Les Verts») et Raphaël Glucksmann («Place Publique» et du Parti socialiste). Joël Saget/AFP

Peut-on deviner à son look si quelqu’un est de droite ou de gauche ?

Pierre-Guillaume Méon, Université Libre de Bruxelles (ULB)

De récentes études semblent indiquer que certains stéréotypes ne nous induisent pas forcément en erreur.
Si les eurosceptiques remportent de nombreux sièges au Parlement européen, la perspective d’une défense commune européenne s’amenuisera. (Photo : un collectionneur de chars français devant des affiches pour les élections européennes de 2019, près de Chartres.) Jean-François Monier / AFP

Elections européennes : distinguer les enjeux « objectifs » des enjeux perçus

Pierre Bréchon, Auteurs historiques The Conversation France

Les élections européennes intéressent les citoyens, mais les enjeux perçus sont-ils en adéquation avec la réalité des pouvoirs du Parlement ? Analyse.
Une enquête inédite associe l'adhésion à un parti politique et la confiance - ou non - dans les médias. Les citoyens aux extrémités de l'échiquier politique sont les plus méfiants. (Shutterstock)

La confiance envers les médias au Québec varie beaucoup selon le parti politique auquel on s’identifie

Marc-François Bernier (Ph. D.), L’Université d’Ottawa/University of Ottawa

Pour mieux comprendre ce qui motive la méfiance envers les médias, il faut regarder du côté de l’affiliation partisane des citoyens, et de la manière dont les convictions idéologiques l’influencent.
Pêcher un dimanche de vote plutôt que de se rendre aux urnes… La part civique de l’existence individuelle serait-elle considérée par nos contemporains comme moins intéressante qu'auparavant ? Oleksandr Skochko / Unsplash

Et si la dépolitisation était une bonne nouvelle pour la démocratie ?

Camille Roelens, Université de Lille

L’abstention et la désaffiliation politique sont souvent perçues comme les signes d’une démocratie en souffrance. Et si elles la protégeait en réalité de risques autoritaires ?

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