Les craintes démographiques ressurgissent dans le débat public. Que nous disent les séries dystopiques à succès, comme La Servante écarlate, des angoisses contemporaines et quel pourrait être leur rôle politique ?
À quoi ressemblent donc les Big Brother postsoviétiques ? Petit tour d’horizon littéraire, du « Slynx » à « Empire V », en passant par la « Journée d’un Opritchnik ».
Christian Walter, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Depuis le début de l'épidémie, malgré de réelles avancées sur la compréhension du virus, les chiffres et les modèles s’affrontent et parfois se contredisent.
En 2050, les effets des pandémies que le monde aura connues d’ici là se seront ajoutés aux tendances déjà à l’œuvre aujourd’hui dans le monde du ballon rond, créant un football à trois vitesses.
Certes, l'IA va largement façonner nos économies durant les prochaines décennies. Mais il convient de démêler ce qui relève du fantasme de ce qui nous guette à plus ou moins brève échéance.
Le plus grand flou entoure le déploiement des solutions de surveillance prévue dans la loi renseignement de 2015 et les évolutions envisagées en la matière.
Si « Black Mirror » est l’une des séries les plus fascinantes et les plus inquiétantes des dix dernières années, c’est en raison de son personnage principal : la technologie.
A quelques semaines des élections européennes, il est tout à la fois plaisant et stimulant de voir ou de revoir les deux saisons de la série « Occupied ».
Les ADFI, vous connaissez ? Le monde de la cybersécurité et du renseignement savent, eux, que les architectures de données fictives immersives peuvent fausser gravement le réel. Dystopie à venir ?