L’analyse d’études récentes sur la perception des Français concernant l’état de pays permet de nuancer l’importance de la fracture générationnelle comme facteur explicatif de la grande déprime.
Une source de difficulté ignorée dans les entreprises vient des relations inter-entreprises empreintes de rivalité. Souvent, davantage de bienveillance permettrait un fonctionnement plus optimal.
En complément aux analyses déjà réalisées, qu’en est-il du rôle des pratiques managériales dans la diffusion et la persistance du niveau élevé de pessimisme au sein de nos entreprises.
Faisant suite à un premier article, nous montrons ici, exemple à l’appui, qu’en dépit de son fort ancrage culturel, le pessimisme qui prévaut dans les entreprises françaises n’est pas inéluctable.
Le pessimisme demeure trop souvent associé au travail en France. Avant d’affiner l’analyse dans trois futures chroniques, nous proposons ici un retour sur les fondements culturels de ce pessimisme.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur de Gestion des Ressources Humaines, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-être au travail et Paix Economique à Grenoble Ecole de Management, Grenoble École de Management (GEM)