Sa nomination à la tête de la Banque centrale européenne pose la question d’une représentation féminine qui reste très minoritaire au sein des instances de pouvoir économique.
Michel Ferrary (Skema Business School) a mené une étude qui vérifie l’hypothèse avancée par Christine Lagarde, aujourd’hui présidente de la Banque centrale européenne.
« Si Lehman Brothers s’était appelée « Lehman Sisters », la situation en 2008 aurait été bien différente », avait déclaré la directrice générale du FMI. Une étude vient aujourd’hui confirmer ces propos.
La relance du programme d’assouplissement quantitatif décidée en septembre dernier a attisé la colère du camp « allemand », que la France rejoint pour la première fois.
Marc Bidan, Auteurs historiques The Conversation France
Pour mettre en place leur cryptomonnaie, Facebook et ses partenaires sont confrontés à trois défis : la géopolitique de la monnaie, la stratégie du consortium et la technologie de la blockchain.
Les « risques multiples » qui pèsent sur l’économie française fragilisent plus les PME que les grands groupes. À eux de jouer leur rôle de « locomotive » pour l’ensemble de l’économie.
Ce dont l’Europe meurt depuis 20 ans, c’est de l’immobilisme des progressistes autoproclamés qui, tout en clamant être les « bons Européens », sont surtout les défenseurs d’un statu quo intenable.
En 2008, la chute de Lehman Brothers a provoqué une crise financière mondiale en raison de ses nombreuses connexions avec les autres banques. Qu’en est-il aujourd’hui de ce risque « systémique » ?
La chute de Lehman Brothers fut probablement le point d’orgue de la crise financière de 2008. Dix ans plus tard, la croissance est repartie, mais les leçons de la catastrophe ont-elles été tirées ?
L’alliance des populistes Ligue du Nord et M5S a donné naissance en Italie à un gouvernement eurosceptique. Quels risques sa politique économique fait-elle courir à l’Italie et à la zone euro ?
Comment on pourrait infléchir les décisions de politiques monétaires en faisant siéger au conseil des banques centrales des « représentants des pauvres », agissant selon des critères différents.
Pour assurer la croissance, les banques centrales ont mis en place des politiques économiques de relance. Incomplètes, celles-ci font face à des économies de plus en plus complexes.
La volonté de relance de la construction européenne de Mme Merkel pourrait la conduire à faire des concessions sur la vision allemande de la monnaie, au prix d’une forte opposition interne.
La politique macroprudentielle est utile pour la stabilité financière, mais elle peut aussi constituer l’instrument d’ajustement macro-conjoncturel dont la zone euro a besoin.
Economist & Academic Dean of the MSc Financial Markets & Investments. Co-author of the book "Managing Country Risk in an Age of Globalization", SKEMA Business School