Des études suggèrent une tendance à la surconfiance des médecins dans leurs prises de décisions, tout en soulignant leurs capacités à distinguer les décisions correctes de celles qui sont erronées.
Loin de n’être qu’un « banal » virus respiratoire, le coronavirus SARS-CoV-2 peut envahir de nombreuses sortes de cellules dans notre corps. Y compris dans le cerveau, normalement si bien protégé.
Alors que la notion de spécisme est de plus en plus mobilisée pour décrire les relations des humains aux autres animaux, il faut cependant bien la distinguer de l’anthropocentrisme.
Les personnes atteintes de dyslexie ou encore d’autisme, malgré leurs compétences reconnues, restent victimes de discriminations sur le marché du travail.
Un niveau de langue n’est ni bon ni mauvais, mais plutôt approprié ou non à un contexte. Il s’agit de savoir adapter son discours afin de maximiser la connexion entre les interlocuteurs.
La démence ne se manifeste pas uniquement par des troubles de la mémoire. Les personnes qui en sont atteintes peuvent également présenter des problèmes d’apprentissage, de compréhension et de jugement, mais aussi des changements de comportement.
Vous est-il déjà arrivé de regarder un visage familier et de le trouver soudainement inhabituel ou inconnu ? Il s’agit peut-être d’un cas de « jamais vu ».
Une meilleure compréhension des circuits cérébraux intervenant dans l’adaptation comportementale pourrait déboucher sur de nouvelles méthodes de traitement de plusieurs maladies, dont la schizophrénie.
Dans divers troubles de santé mentale, la confiance en soi est altérée. Pour pouvoir la restaurer plus efficacement et proposer des traitements plus adaptés, il faut d’abord en comprendre les mécanismes.
La créativité est souvent considérée comme un phénomène spontané et inconscient. Cette perspective contraste avec les recherches contemporaines en psychologie cognitive et en neurosciences.
Des scientifiques ont utilisé une technique d’imagerie cérébrale et des méthodes d’intelligence artificielle pour retrouver le sens de ce que les participants entendent, disent… et imaginent.
N’existe-t-il pas des capacités spécifiquement humaines qui nous rendent irremplaçables, nous mettant à l’abri de la concurrence de l’intelligence artificielle ?
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)