Si les plates-formes de vidéo courtes comme TikTok ont le vent en poupe, les adolescents sont encore très présents sur YouTube qui leur permet d’expérimenter différentes présentations de soi.
Dhouha El Amri, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Lapin Nabaztag, lunettes connectées de Facebook… La théorie de l'affordance suggère que le succès ou l'échec d'un produit dépend d'abord de la lisibilité de son utilisation par le marché.
Face aux photos retouchées d’influenceurs qui collectionnent les « like » sur les réseaux, les adolescents peuvent développer une mauvaise image d’eux-mêmes. Comment ouvrir la discussion en famille ?
De nombreuses recherches attestent de la possible nocivité d’Instagram pour les adolescentes, notamment en ce qui concerne l’image qu’elles ont de leur corps.
Facebook s’est doté d’un Conseil de surveillance qui vient de rendre sa décision sur la suspension du compte de Donald Trump. Un épisode qui pose bon nombre de questions…
Joël Djaha, Université Félix Houphouët-Boigny. Cocody, Côte-d'Ivoire and Anne Bekelynck, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Une étude poussée des contenus postés sur Facebook en Côte d’Ivoire depuis le début de la pandémie montre que la défiance envers le pouvoir provoque souvent un rejet des mesures sanitaires.
La vidéo pour mobile est peu exploitée par les médias québécois. C’est là que Noovo.info pourrait se démarquer et rejoindre un autre public que celui, vieillissant, des bulletins télé.
La mobilisation d’une partie de la population sénégalaise contre le pouvoir du président Macky Sall doit beaucoup à l’inventivité et au dynamisme des internautes.
Si, à l’origine, l’ambition affichée par Facebook était relativement modeste – aider les utilisateurs à mieux connaître leur entourage –, ses ambitions sont désormais nettement plus élevées…
Facebook a mis en place un « Conseil de surveillance » censé veiller aux droits de ses utilisateurs. Peu de temps après sa création, cette instance doit trancher une question des plus sensibles.
Tous les contenus d’actualité australiens sont désormais bloqués par Facebook, la firme refusant de payer des « droits voisins » pour le partage de ces informations. Décryptage.
Il y a déséquilibre entre des multinationales comme Facebook et Google et des médias désargentés qui ne font pas le poids quand vient le temps de faire connaître la valeur des contenus journalistiques.
Le bannissement de Donald Trump des principaux réseaux sociaux pose de nombreuses questions, à commencer par celle de la responsabilité qu’ont les plates-formes dans les contenus qu’elles hébergent.
Pour contrer les nombreuses stratégies de manipulation de l'information orchestrées par le camp Trump, fact-checkers et médias mainstream se sont fortement mobilisés, avec des succès mitigés.
Facebook et YouTube tentent d’arrêter la propagation des conspirations QAnon, mais les membres de la communauté ont trouvé de nouvelles façons de promouvoir de fausses théories sur les médias sociaux.
Pour en finir avec la haine en ligne, la réponse ne peut venir du seul terrain démocratique. Il faut s’attaquer au fonctionnement technique des réseaux et à l’opacité des algorithmes.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School