Au Sénégal, l’information officielle concernant l’hépatite B manque, ce qui pousse la population vers les médias en ligne. Faire le tri entre vraies et fausses informations est primordial.
Si vous aimez visionner ou partager des contenus mettant en vedette des animaux, vous n’êtes pas seul – vous faites partie d’un phénomène culturel plus large appelé l’économie du « cute ».
Les influenceurs comblent des besoins affectifs et d’informations. Ils sont perçus comme des modèles en qui leurs abonnés se reconnaissent ou auxquels ils aspirent à rassembler.
À l’heure où les algorithmes gouvernent nos vies sociales et où les technologies font écran au monde, ne faudrait-il pas relire les textes de Rousseau concernant l’apprentissage de l’autonomie ?
Chercheuse en sciences du climat et coprésidente du groupe de travail I du GIEC, Valérie Masson-Delmotte partage ses impressions à la suite de son visionnage du film-événement d’Adam McKay.
Les formes de gouvernance qui affichent des missions au-delà de l’objectif de maximisation du profit ou celles qui instaurent une « cour suprême » manquent encore de maturité.
La nourriture et la cuisine sont la cinquième thématique la plus consultée sur YouTube. Signe de son potentiel pour déployer l’éducation à l’alimentation ?
La recherche en ressources humaines identifie quatre principes clés : garder sa faculté d’apprentissage, obtenir des feedbacks, gérer ses émotions et utiliser ses contacts.
Anne Alombert, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
La large diffusion des supports numériques a un effet majeur sur la capacité d'attention des individus. Un défi pour les professionnels du soin et de l'éducation.
La pornodivulgation est une violence sexiste et sexuelle qui peut toucher des hommes, mais cible principalement des jeunes filles et des femmes. Retour sur une enquête auprès d’élèves de lycée.
Les influenceurs de la droite alternative française utilisent habilement les codes de YouTube, Instagram ou TikTok pour diffuser leur idéologie auprès des jeunes générations.
David Crête, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR)
Le métavers pourrait bien devenir une forme d’enfermement menant à une surveillance accrue par ses concepteurs, qui incluent notamment le géant Facebook ; une prise de conscience est nécessaire.
La Turquie s’est récemment retirée de la Convention d’Istanbul, un texte qui lutte contre les violences faites aux femmes. Un fléau pourtant très réel dans ce pays.
Il est loin, le temps du rendez-vous familial devant le JT de 20h. C’est souvent seuls, pendant les pauses de la journée, que les jeunes suivent l’actualité, privilégiant réseaux sociaux et vidéos.
Plutôt que de répondre sur la désinformation, et la sécurité de ses usagers, Facebook détourne les projecteurs de l’attention publique sur une autre actualité : les métavers.
Alors que les images trop parfaites qui circulent à la vitesse grand V sur les réseaux sociaux peuvent générer des troubles, quelques pistes pour dialoguer sur la place et les usages des écrans.
Faire accepter à l’utilisateur des conditions d’utilisation semble insuffisant pour se prémunir d’une immixtion de l’État, surtout quand le monde virtuel se rapproche de l’économie réelle.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School